by James & Faye
Toutes les semaines l'équipe de ComicsDiscovery commente les dernières news comics et vous fait découvrir un titre. De Dc à Marvel en passant par les indépendants, le podcast permet aux débutants et aux passionnés d'échanger et de faire des découvertes.
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🇫🇷
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9/28/2016
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April 21, 2025
Pour fêter l’arrivée de la série Batman & Robin de Peter Tomasi et Patrick Gleason dans la collection Urban Nomad à petit prix, James saisit enfin l’occasion de parler de sa BD préférée. Cette émission de ComicsDiscovery est un peu particulière, car elle a été enregistrée en présentiel avec Sophie, qui nous a fait le plaisir de venir jusqu’à Montpellier. Un vrai moment de partage autour d’un pilier de la bande dessinée américaine. La tradition des sidekicks chez DC Comics Le concept du sidekick, ce jeune héros qui accompagne un justicier plus expérimenté, est profondément ancré dans l’ADN de DC Comics. Chaque icône de l’éditeur possède sa propre “famille” de héros secondaires. Chez Batman, l’un des membres les plus importants est Robin, un rôle occupé par plusieurs personnages marquants. James retrace l’évolution de ces jeunes justiciers : de Dick Grayson, le tout premier Robin apparu dans Detective Comics #48 en 1940, jusqu’à Damian Wayne, le fils biologique du Chevalier Noir. Petite anecdote : “Robin”, au passage, c’est aussi le nom d’un rouge-gorge… sympa comme clin d’œil, non ? Un Dynamic Duo explosif Place au cœur du sujet avec Batman & Robin, ce que James considère comme la meilleure série des New 52 ! Pour rappel, les New 52 représentent un relaunch complet de l’univers DC, proposant de nouvelles continuités et des premiers numéros flambant neufs. Dans cette itération, Bruce Wayne reprend le rôle de Batman, succédant à Dick Grayson, qui avait porté le costume tout en s’occupant de Damian. Désormais, Bruce doit composer avec son rôle de père, lui qui n’a jamais vraiment eu de modèle parental – à part Alfred Pennyworth, bien sûr. Et avec Damian, ado rebelle et redoutablement efficace, la cohabitation promet d’être tendue. Leur relation déjà complexe se retrouve encore plus éprouvée par le retour d’un ennemi issu du passé de Bruce, venu raviver de vieilles blessures. Une histoire de communication Peter Tomasi excelle dans l’écriture de cette relation père-fils, qu’il fait évoluer avec justesse et sensibilité. Au fil des tomes, Bruce et Damian apprennent à se comprendre et se tolérer, puis à s’aimer, malgré leurs différences. C’est ce lien émotionnel complexe et fort qui donne à la série toute sa profondeur. Si, comme James, vous êtes sensibles aux dynamiques familiales compliquées (coucou les Daddy Issues), cette série va vous parler ! Visuellement, Patrick Gleason sublime le récit grâce à son trait reconnaissable, dynamique et expressif, mêlant efficacement esthétique mainstream et personnalité graphique. Une porte d’entrée parfaite vers l’univers Batman Accessible, intense, bien écrite et magnifiquement dessinée, Batman & Robin est une lecture indispensable pour tout fan de comics, de Batman, ou plus largement de pop culture. Grâce à la réédition dans la collection Urban Nomad à seulement 10 €, il n’y a plus aucune excuse pour passer à côté de cette pépite signée DC Comics. Un duo légendaire, une écriture brillante et une tension émotionnelle constante : tout ce qu’on aime dans la bande dessinée américaine. Si vous voulez découvrir d'autres récits forts dans l'univers de DC chez Urban Comics, nous vous conseillons ces épisodes de ComicsDiscovery : Justice League : Faute d’un clou Joker - The Winning Card Wonder Woman - Hors la loi Dawn of Green Lantern Pour découvrir plus de publications de DC Comics, visitez leur site officiel : Urban Comics Le mot de la fin Comme toujours, nous vous invitons à partager votre avis avec nous ! Que vous soyez d'accord ou non, échanger avec vous est toujours un plaisir. Si vous souhaitez nous écouter en direct, rendez-vous le mardi soir à 21 h sur notre chaîne Twitch : James et Faye sur Twitch. Retrouvez nos chroniqueurs : Sophie : Découvrez son Linktr.ee Faye : Retrouvez son Linktr.ee Spades : Découvrez son Linkt.ee James : Découvrez son Instagram Suivez-nous sur nos réseaux sociaux : Facebook : ComicsDiscovery sur Facebook Twitter (X) : @comi
April 15, 2025
On se retrouve pour découvrir ensemble un nouveau comics, dans ComicsDiscovery. Que vous soyez fan de X Men ou que vous soyez désireux d'en apprendre plus sur la saga imaginée par Stan Lee, cet épisode est fait pour vous. À l'occasion de sa ressortie en édition Best of chez Panini, nous lisons Dieu crée, l'homme détruit de Brent Anderson et Chris Claremont. Un peu de contexte Avant d'entrer dans le comics, Spades, grand amateur de mutant, vous propose de remettre en contexte l'œuvre, car celui-ci est très important pour prendre conscience de l'impact du comics au moment de sa sortie en 1982. Les mutants sous l’ere Claremont En août 1969, Marvel se retrouve avec une série qui ne fait plus vraiment recette depuis sa création par Stan Lee et Jack Kirby — comme pas mal d'autres titres de l’époque, d’ailleurs. Cette série, c’est Uncanny X-Men. Pendant des années, elle végète, recyclant d’anciens épisodes et peinant à trouver son public. Mais en 1975, Marvel tente un coup de poker : relancer le titre avec une nouvelle équipe venue des quatre coins du globe, introduite dans le fameux Giant-Size X-Men #1. C’est là qu’entre en scène Chris Claremont. À partir de 1976, il prend les rênes du titre et va littéralement le métamorphoser. Il injecte des intrigues plus longues, des thématiques sociales puissantes, des personnages complexes et tourmentés — et surtout, une narration feuilletonnante qui capte les lecteurs sur le long terme. De 1976 à 1991, Claremont transforme Uncanny X-Men en l’une des séries phares, voire la série phare, de Marvel. Il y a clairement un avant et un après Claremont. Sans lui, les X-Men ne seraient probablement jamais devenus les icônes pop qu’ils sont aujourd’hui, et l’industrie n’aurait peut-être pas connu ce virage narratif plus adulte qu’il a contribué à initier. Dieu crée et l'homme détruit Alors qu’un groupe nommé les Purificateurs traque les mutants et les lynche purement et simplement — une référence directe à Emmett Till, ce jeune Afro-Américain assassiné en 1955, dont le meurtre a été l’un des déclencheurs majeurs du mouvement pour les droits civiques aux États-Unis —, un télévangéliste fanatique, William Stryker, utilise sa tribune médiatique pour attiser la haine des mutants au nom de la foi. Face à cette vague d’intolérance, les X-Men n’ont d’autre choix que de s’allier avec leur plus vieil adversaire : Magneto. C’est à travers ce récit, Dieu crée, l’homme détruit, que Chris Claremont grave dans l’ADN des X-Men une thématique qui ne les quittera plus : celle de la lutte contre la haine, l’intolérance et les discriminations systémiques. Bien sûr, ces idées étaient déjà présentes dans la série depuis ses débuts — la coexistence pacifique prônée par Professor Xavier face au radicalisme de Magneto en portait les prémices — mais jamais elles n’avaient été abordées avec autant de clarté, de gravité et de réalisme. Avec l’appui de Brent Anderson au dessin, Claremont utilise pour la première fois les X-Men pour parler directement, sans métaphore ni détour, à son lectorat des violences raciales, de la peur de l’autre et des dérives religieuses. Ce n’est plus simplement un comic sur des super-héros, c’est un manifeste. Un appel à la vigilance, à la solidarité, à l’empathie. Et si certains éléments d’écriture peuvent aujourd’hui paraître datés — narration dense, dialogues parfois théâtraux —, cela n’ôte rien à la puissance du propos. Le message, lui, reste brûlant d’actualité. C’est ce récit qui fait des X-Men les porte-voix d’une génération, et leur donne leur place à part dans l’univers Marvel. Qu'avez-vous pensé de ce récit ? si vous ne l'avez pas encore lu, nous vous invitons à le découvrir sans attendre ! Le mot de la fin Comme toujours, nous vous invitons à partager votre avis avec nous ! Que vous soyez d'accord ou non, échanger avec vous est toujours un plaisir. Si vous souhaitez nous écouter en direct, rendez-vous le mardi soir à 21 h sur notre chaîne Twitch : James et Faye sur Twitch. Retr
April 5, 2025
Bienvenue pour un nouvel épisode de ComicsDiscovery. On sort nos plus belles dents de Vampire pour discuter de 30 jours de Nuit de Steve Niles et Ben Templesmith que vous pouvez retrouver aux éditions Delcourt. 30 jours de Nuit Dans les années 90, Steve Niles regarde à la TV un documentaire concernant des villes qui ne voient pas le soleil pendant une longue période. Immédiatement lui vient à l'esprit une horde de vampires qui fondrait sur la ville. C'est ainsi que débute, la création de l'univers qui fera connaître du grand public l'auteur. Le titre n'était au départ pas prévu pour être un comics mais un film, pourtant au début des années 2000, il a l'opportunité de transformer son histoire en bande dessinée avec l'aide de Ben Templesmith au dessin. Une infection vampirique 30 jours de Nuit, permet au lecteur de suivre la petite ville de Barrow en Alaska qui se prépare à vivre une nuit durant 30 jours. Le Shérif et sa femme s'assurent que tout se déroule sans accroc. Malheureusement, les vampires profitent de l'occasion pour se jeter sur la ville en défense pour la saigner à blanc. Les habitants pourront-ils survivre ? C'est ainsi que débute l'univers de Steve Niles. Le lecteur est confronté à l'horreur ainsi qu'au sentiment de panique et d'impuissance des personnages. On retrouve également beaucoup de références aux genres vampires. Les dessins de Templesmith accompagnent parfaitement le récit en appuyant sur l'horreur tout en piégeant les personnages et le lecteur. Le reste du récit est plus classique et varie les points de vue afin de développer l'univers principalement du côté vampire. Celui-ci apparaît comme une société complexe proposant ses propres règles de vie ainsi qu'une relation assez haineuse envers les humains. Une adaptation produite par Sam Raimi. Sorti en 2007, le film de David Slade et mettant en vedette Josh Hartnett est globalement reconnu comme une bonne adaptation et a plutôt plu aux amateurs d'horreur. On retrouve l'ambiance du comics ainsi que sa palette de couleurs mélangeant, le noir, le gris et le rouge. Malheureusement, la suite intitulée 30 jours de nuit : Sombres en 2010 ne réussit pas le même exploit, la faute principalement à son budget et sa réalisation. Le Blind Test On finit l'émission avec un nouveau Blind Test concocté par James. Il nous propose de trouver des titres de films de mauvais films de vampires d'après leur bande-annonce. Dites-nous en commentaire votre score et votre film de vampire préféré. Le mot de la fin Comme toujours, nous vous invitons à partager votre avis avec nous ! Que vous soyez d'accord ou non, échanger avec vous est toujours un plaisir. Si vous souhaitez nous écouter en direct, rendez-vous le mardi soir à 21 h sur notre chaîne Twitch : James et Faye sur Twitch. Retrouvez nos chroniqueurs : Sophie : Découvrez ses réseaux ici James : Découvrez son Instagram Faye : Retrouvez son Linktr.ee Suivez-nous sur nos réseaux sociaux : Facebook : ComicsDiscovery sur Facebook Twitter (X) : @comicsdiscovery sur Twitter Instagram : @comicsdiscovery sur Instagram TikTok : @jamesetfaye sur TikTok Écoutez nos podcasts sur vos plateformes préférées : Spotify : ComicsDiscovery sur Spotify Ausha : ComicsDiscovery sur Ausha Apple Podcasts : ComicsDiscovery sur Apple Podcasts Deezer : ComicsDiscovery sur Deezer Retrouvez nos replays vidéo : YouTube : ComicsDiscovery sur YouTube Twitch : James et Faye sur Twitch Pour nous soutenir : Vous aimez notre travail ? Vous pouvez nous aider sur Tipeee ! Rejoignez-nous sur Discord : Venez discuter avec nous sur notre serveur Discord : Rejoindre le serveur Découvrez nos autres productions : Retrouvez toutes nos productions et articles sur notre site officiel :30 Jours de nuit3330
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